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Publié par Société Française d'Ethnoscénologie (SOFETH)

Les appellations de danse minoritaire et danse des minorités posent question et propulsent notre réflexion dans le champ du politique. En considérant les danses populaires, les danses d’apparat ou autres danses sociales comme relevant des formes d’expression minoritaires, c’est les exclure d’une praxis chorégraphique savante. Il s’agira de réévaluer la diversité des gestes dansés dépréciés par une culture dominante, occidentale, qui hiérarchise les danses selon leurs origines et leur degré d’institutionnalisation, bien souvent perçu comme gageure d’une qualité esthétique. On replacera ces danses dans leur contexte social et politique d’origine, afin d’en apprécier toute leur complexité, prenant en compte leur valeur esthétique et au-delà leur pouvoir de subversion. En plaçant le corps au centre de leurs revendications, ces cultures de la marge, celles des exclus, parviennent à imposer leur discours contestataire avec force.
Les appellations de danse minoritaire et danse des minorités posent question et propulsent notre réflexion dans le champ du politique. En considérant les danses populaires, les danses d’apparat ou autres danses sociales comme relevant des formes d’expression minoritaires, c’est les exclure d’une praxis chorégraphique savante. Il s’agira de réévaluer la diversité des gestes dansés dépréciés par une culture dominante, occidentale, qui hiérarchise les danses selon leurs origines et leur degré d’institutionnalisation, bien souvent perçu comme gageure d’une qualité esthétique. On replacera ces danses dans leur contexte social et politique d’origine, afin d’en apprécier toute leur complexité, prenant en compte leur valeur esthétique et au-delà leur pouvoir de subversion. En plaçant le corps au centre de leurs revendications, ces cultures de la marge, celles des exclus, parviennent à imposer leur discours contestataire avec force.

Les appellations de danse minoritaire et danse des minorités posent question et propulsent notre réflexion dans le champ du politique. En considérant les danses populaires, les danses d’apparat ou autres danses sociales comme relevant des formes d’expression minoritaires, c’est les exclure d’une praxis chorégraphique savante. Il s’agira de réévaluer la diversité des gestes dansés dépréciés par une culture dominante, occidentale, qui hiérarchise les danses selon leurs origines et leur degré d’institutionnalisation, bien souvent perçu comme gageure d’une qualité esthétique. On replacera ces danses dans leur contexte social et politique d’origine, afin d’en apprécier toute leur complexité, prenant en compte leur valeur esthétique et au-delà leur pouvoir de subversion. En plaçant le corps au centre de leurs revendications, ces cultures de la marge, celles des exclus, parviennent à imposer leur discours contestataire avec force.

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