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Publié par Société Française d'Ethnoscénologie (SOFETH)

Cette journée d’étude consistera à explorer des états limite du corps, soumis à une perte de repères lié à une immersion dans des milieux in-humains ou a priori hostiles, comme l’eau et l’espace. Cet « environnement non humain » (Harold Searles) serait susceptible d’engendrer une déréalisation spatio-temporelle et sensorielle renouant avec un sensible archaïque toujours prêt à resurgir ou inventant de nouveaux corps sensibles : en se détachant de son environnement, le corps humain est soumis à d’autres dimensions (3 et 4D), qui l’amènent tout à la fois à retrouver le sens anthropologique des gestes primitifs (la marche, la parole...) et se projeter dans un avenir hypothétique. Cette journée d’étude a pour but d’interroger la façon dont la création réfléchit la plasticité de ces enveloppes corporelles et apporte une réponse aux problèmes de perception et d’immersion qui nous affectent aujourd’hui. Intervenants : Emmanuelle André | Diane Arnaud | Jeanne Bacharach | Isabelle Barbéris Elise Harris | Evelyne Grossman | Martin Kaltenecker | Diego Ranz | Pierre Zaoui
Cette journée d’étude consistera à explorer des états limite du corps, soumis à une perte de repères lié à une immersion dans des milieux in-humains ou a priori hostiles, comme l’eau et l’espace. Cet « environnement non humain » (Harold Searles) serait susceptible d’engendrer une déréalisation spatio-temporelle et sensorielle renouant avec un sensible archaïque toujours prêt à resurgir ou inventant de nouveaux corps sensibles : en se détachant de son environnement, le corps humain est soumis à d’autres dimensions (3 et 4D), qui l’amènent tout à la fois à retrouver le sens anthropologique des gestes primitifs (la marche, la parole...) et se projeter dans un avenir hypothétique. Cette journée d’étude a pour but d’interroger la façon dont la création réfléchit la plasticité de ces enveloppes corporelles et apporte une réponse aux problèmes de perception et d’immersion qui nous affectent aujourd’hui. Intervenants : Emmanuelle André | Diane Arnaud | Jeanne Bacharach | Isabelle Barbéris Elise Harris | Evelyne Grossman | Martin Kaltenecker | Diego Ranz | Pierre Zaoui

Cette journée d’étude consistera à explorer des états limite du corps, soumis à une perte de repères lié à une immersion dans des milieux in-humains ou a priori hostiles, comme l’eau et l’espace. Cet « environnement non humain » (Harold Searles) serait susceptible d’engendrer une déréalisation spatio-temporelle et sensorielle renouant avec un sensible archaïque toujours prêt à resurgir ou inventant de nouveaux corps sensibles : en se détachant de son environnement, le corps humain est soumis à d’autres dimensions (3 et 4D), qui l’amènent tout à la fois à retrouver le sens anthropologique des gestes primitifs (la marche, la parole...) et se projeter dans un avenir hypothétique. Cette journée d’étude a pour but d’interroger la façon dont la création réfléchit la plasticité de ces enveloppes corporelles et apporte une réponse aux problèmes de perception et d’immersion qui nous affectent aujourd’hui. Intervenants : Emmanuelle André | Diane Arnaud | Jeanne Bacharach | Isabelle Barbéris Elise Harris | Evelyne Grossman | Martin Kaltenecker | Diego Ranz | Pierre Zaoui

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