La Société française d'ethnoscénologie (SOFETH) est agréée ONG par l'Unesco (NGO 90314) pour le Patrimoine culturel immatériel (PCI). La SOFETH promeut la recherche et l’enseignement théorique et pratique dans le domaine de l’ethnoscénologie : étude interdisciplinaire de l’esthétique des incarnations de l’imaginaire, des arts de la performance et des arts du spectacle vivant ; elle développe, fédère et diffuse les échanges et résultats scientifiques à l’échelle nationale et internationale. Ses actions consistent essentiellement en l’organisation d’évènements scientifiques et en leur valorisation. Depuis 2018, elle opère la transition de la revue L’Ethnographie : Création·Pratiques·Public (ISSN 25345893) du format papier au numérique sur le site de la MSH-Paris Nord (USR 3258 CNRS UP8 USPN). Son blogue est identifié par la Bibliothèque nationale de France – Centre ISSN France - sous l’ISSN 24943525. Son bureau est constitué de Pierre Philippe-Meden (Président), Éléonore Martin (Vice-Présidente), Jade Cervetti (Secrétaire), Arianna Bérénice De Sanctis (Vice-Secrétaire), Philippe Liotard (Trésorier), Jérôme Dubois (Vice-Trésorier). Son siège social est au Centre français du patrimoine culturel immatériel-Maison des cultures du Monde (CFPCI-MCM), son siège de correspondance au 42 bis rue Poliveau 75005 Paris.
Vingt-sept ans après avoir quitté l’Afrique du Sud, et presque vingt ans après la fin de l’Apartheid, Katharine Cooper a souhaité retourner dans son pays d’origine, sur les traces de son
enfance.
De janvier à mai 2013, elle a séjourné dans des lieux liés à son histoire en Afrique du Sud et au Zimbabwe afin de réaliser « un portrait intime de la minorité blanche qui perdure,
depuis quatre siècles, dans ce pays de beauté brutale ; d’un peuple né de cette terre à laquelle il se sent profondément attaché ». Elle nous livre ainsi un aperçu poétique et
personnel d’une communauté dans sa diversité - gens ordinaires, personnages publics mais aussi déshérités.
À travers cette série qui se veut le début d’un travail à long terme se dessine la vision singulière d’un peuple méconnu, mais également l’autoportrait de la photographe qui, au terme de
ce voyage, se vit et s’affirme plus que jamais comme une « Blanche Africaine ». link